MARIE L'AMUSE
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LE BLOG
- CARNETS DE BORD -

Road trip / 2 : "Wai", l'Eau

29/6/2017

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Bonjour !

La première partie des aventures Néo-Zélandaises (Christchurch, "City of Decay") semble vous avoir plu, je continue donc avec un nouveau thème.

Comme je le disais dans l'article précédent, je ne vais pas vous présenter le road trip au jour le jour, mais plutôt par "catégories".
Je doute que vous faire une chronologie ne vous intéresse beaucoup... À moins que vous ne souhaitiez faire des stats sur l'heure à laquelle nous réveillions, la fréquence des pauses pipi, ou savoir à quel point certains trajets étaient folichons ! ;)
Quoi qu'il en soit, je vous avais promis un sujet un peu plus fun que le délabrement de Christchurch. Parler des paysages grandioses, c'est trop facile, et je vous garde ça pour plus tard... les oiseaux, les montagnes, idem... non, cette fois je vais plutôt vous parler... de l'eau !

"WAI", L'EAU

Purakaunui falls (Catlins) / Nouvelle Zélande, avril 2017
Purakaunui
D'abord, une petite question. Savez-vous quel peuple vit en Nouvelle-Zélande depuis des centaines d'années ? Pas les européens, non, les autres ?
Des tatoués (d'ailleurs, leurs tatouages en ont attiré plus d'un) super accueillants malgré leurs gros pectoraux ?
Gagné : ce sont les maoris :) Leur langue est encore amplement utilisée : c'est une des trois langues officielles du pays, avec l'anglais et le langage des signes. L'anglais prédomine, mais il n'est pas rare de tomber sur des textes en maori, ou d'entendre le fameux "Haere mai" (bienvenue) en entrant quelque-part.
Photo
Extrait de l'index de notre atlas routier...
Beaucoup de lieux ont gardé leur nom maori.

Quelle galère, quand on n'a pas de GPS, et qu'on essaie de retenir les trajets...
"Bon alors, on passe par où pour aller à Moeraki ?" "Bah écoute, on est à Pareora, on va passer Waitaki, Pukeuri, Oamaru, et une fois qu'on sera à Waianakarua on sera à deux pas. OK ?"
(Véridique)
Bref : tout ça pour dire que "Wai", hé bien, ça veut dire "Eau" en maori.
Comment ça, vous l'aviez compris ?

Et si je veux vous parler de l'eau, ce n'est pas pour rien.
Elle est présente partout dans le pays, et aura largement jalonné notre parcours.
La première rencontre avec celle-ci n'était pas celle que l'on attendait... nous venions d'arriver en Nouvelle-Zélande, et déjà un pépin avec le chauffe-eau (qui aura été condamné pour le reste du séjour). (Vous allez voir, au fil des articles : ce van était MYTHIQUE !)
Photo
Notre seconde rencontre aura eu lieu peu après. Toujours pas celle que l'on espérait.
Photo
Les matins qui chantent
Ces photos ont été prises à Moeraki (ce nom vous dit quelque-chose ? Si oui, c'est que vous êtes vachement plus doués que moi pour retenir les noms... voir ci-dessus ;)). Au réveil, en surplomb de l'océan (pacifique), avec ses rouleaux qui se crashent sur les rochers, après une nuit bercés par les rafales de vent et par les trombes d'eau qui se sont déversées sans discontinuer.
Photo
Le soleil vient de se lever ♪
Comme nos téléphones nous servent principalement de réveils lorsque nous sommes en voyage, il nous aura fallu un moment avant d'apprendre qu'un cyclone s'abattait sur le pays (et sur nous) depuis plusieurs jours. Ceci a expliqué cela, et on a compris pourquoi "quand il fait mauvais en Nouvelle-Zélande, dis donc, il fait sacrément mauvais !"
Les pluies torrentielles auront duré les premiers jours de notre voyage, et nous auront été bénéfiques... car notre périple aura été ponctué par tout un tas de cascades (coeur coeur coeur). Et qui dit grosses pluies, dit grosses cascades !
Dawson falls (Taranaki) / Nouvelle Zélande, avril 2017
Dawson falls
J'avoue, je suis complètement accro aux chutes d'eau. Grandes, petites, peu importe. Je ne dirai jamais non à une rando dans le but de me retrouver au pied d'une cascade.
Déjà durant notre road trip en Islande, nous nous étions arrêtés à toutes les cascades possibles et imaginables... il en a donc été de même en Nouvelle-Zélande.

Je consacrerai un article à ce sujet, j'ai beaucoup trop d'images à vous montrer pour les intégrer à ce billet ;)
McLean falls (Catlins) / Nouvelle Zélande, avril 2017
McLean falls
Et forcément, les torrents n'étaient pas en reste.
Durant l'automne (hémisphère sud oblige !), comme chez nous, le niveau des rivières et des chutes d'eau est relativement bas... Sauf lorsqu'il pleut. Ça aura été notre coup de chance ! :)
Purakaunui (Catlins) / Nouvelle Zélande, avril 2017
Purakaunui
Et vous avez vu toutes ces plantes ?
C'est la "rainforest" (forêt humide)... en un mot, la jungle.

Encore un de mes coups de cœur.
Nous avons passé beaucoup de temps à arpenter ces forêts, et c'était un régal.

Mais, je n'en dis pas trop, je compte aborder le sujet de la végétation un peu plus tard.
Purakaunui (Catlins) / Nouvelle Zélande, avril 2017
Purakaunui
Alors, je vous ai parlé de la pluie, des cascades, des rivières... mais je ne peux pas oublier une des composantes principales du pays : la mer !
Ou l'océan, au choix. Car les îles de la Nouvelle-Zélande sont bordées, à l'ouest, par la mer de Tasman, et à l'est, par l'océan Pacifique.

Bien que nous ne sommes pas vraiment "plages", il faut avouer qu'elles sont souvent superbes, et jamais identiques.
Les boulders de Moeraki (Otago) / Nouvelle-Zélande, avril 2017
Plage de Moeraki
Les boulders de Moeraki sont de gros gros cailloux, allant jusqu'à trois mètres de diamètre. C'est, en résumé, de la boue fossilisée qui a subi 60 millions d'années d'érosion par l'océan Pacifique (oui, 60 millions d'années, rien que ça. Ça correspond quasiment à la période ou les dinosaures se sont éteints...).
Le temps n'est pas vraiment au beau fixe, le cyclone Cook est toujours au-dessus de notre tête.
Frasers beach, Manapouri (Fiordland) / Nouvelle-Zélande, avril 2017
Frasers beach, à Manapouri. (Au fait ! Toutes les photos sont cliquables si vous souhaitez les agrandir)
Au bout d'une semaine, nous voyons enfin le soleil, et nous nous arrêtons au lac Manapouri.
Au fond, le Fiordland, un des plus grands parcs nationaux du monde. L'homme a fichu la paix aux forêts primitives, en 2001 on dénombrait 48 habitants pour 12 120km². C'est un peu plus que la taille de la Jamaïque ou du Liban. Pour vous donner une idée, vous trouverez 3 millions d'habitants en Jamaïque et  plus de 6 millions au Liban !
Hahei beach (Coromandel) / Nouvelle-Zélande, mai 2017
Hahei beach
Sable fin, eau turquoise et cristalline, grand soleil : aucun doute, nous sommes dans l'île du Nord.
Pour revenir à l'histoire de l'hémisphère sud, le printemps correspond à l'automne, et le sud correspond au nord. Donc, le sud de l'île du sud reçoit plus de précipitations, et il y fait plus froid, alors que le nord de l'île du nord bénéficie de températures et d'un climat plus cléments.
Concernant la photo ci-dessus : des dizaines d'îles et d'îlots rocheux sont éparpillés au large, vous en avez un tout petit aperçu. En y ajoutant les immenses arbres qui jalonnent la plage (vous ne trouverez pas de cocotiers en Nouvelle-Zélande), la magie opère à merveille, le lieu est paradisiaque !
Thames coast road (Coromandel) / Nouvelle-Zélande, mai 2017
Du côté de Waiomu, sur la Thames coast road
Le soleil se couche sur la côte ouest de la péninsule de Coromandel. Les rochers et les arbres noueux se teintent de rouge... le matin même, nous étions à l'est de la péninsule, les orteils dans le sable, et voilà que la journée se termine le long d'un côte aussi déchirée que magnifique.
Je m'arrête là pour aujourd'hui. Vous l'aurez compris, je reviendrai sur les cascades, la végétation, et les bords de mer seront aussi de la partie, entre autres sujets... :)

En attendant, ce soir c'est le week-end, c'est même l'heure de l'apéro... Histoire d'être raccord, un selfie pris sur la plage, déserte, de Charleston.
Photo
On espérait réussir à montrer le coucher de soleil, et on ne voit finalement qu'un gros bout de bois... on n'a pas tous la classe avec un téléphone.

Bref, ça ne m'empêche pas de vous dire "santé !"... et à bientôt :)
Photo
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Road trip / 1 : Christchurch, "City of decay"

6/6/2017

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Bonjour !

Comme promis, un premier billet "Road trip", un mois tout pile après mon retour de Nouvelle-Zélande.
L'aube pointe au large de la Nouvelle-Zélande, premier territoire à voir le lever du jour !Photo
L'aube pointe au large de la Nouvelle-Zélande, premier territoire à voir le lever du jour !
Juste avant d'attaquer, voici pourquoi je n'ai pas écrit d'article plus tôt.
D'abord, les sueurs froides : j'ai eu des soucis de matériel. Mes photos ne chargeaient pas, et lorsque j'arrivais finalement à les ouvrir, je me retrouvais face à ça :
Photo
L'ANGOISSE.
Plutôt sympa, non ? Être partie à l'autre bout du monde pour me retrouver avec des photos inutilisables...
Trouver l'origine du problème m'a pris du temps, mais au bout de plusieurs jours de stress, j'ai pu régler le souci.
​ (Je ne détaillerai pas ici, mais si vous vous retrouvez vous aussi face à ce type de fichiers "corrompus", j'ai étudié tellement de possibilités que je pourrai peut-être vous aider !)
J'en arrive à la seconde raison : je ne sais pas vous, mais pour ma part, j'ai beaucoup de peine à mettre mon nez dans mes photos de voyage ou d'explorations immédiatement après mon retour.
J'aime prendre le temps de laisser mes souvenirs s'installer, ne pas les "biaiser" via une photo, tant que c'est tout frais.
​Un coup d'œil pour être certaine qu'il n'y a pas eu de souci (voir ci-dessus ;)), et j'y reviens quand l'envie se fait ressentir.
(Je vous rassure, ça ne se passe pas comme ça pour vos shoots !)
Les méandres bruns du fleuve Perak, Malaisie
Les méandres bruns du fleuve Perak, Malaisie
Et la dernière chose, c'est que je ne savais tout bêtement pas par quoi commencer.
Ce road trip a été une sacrée aventure...

Plutôt que de vous présenter un carnet de voyage au jour le jour, j'ai finalement décidé de vous parler du pays au travers de différents thèmes, sans jouer non plus la carte de la pure promo touristique.

Mais comme il faut bien prendre l'histoire par un bout, je vais tout simplement commencer... par le début !

Christchurch, "city of decay"

Après plus de 30 heures de voyage, nous voilà arrivés en terre "Kiwi", à Christchurch plus précisément.
Photo
Photo
Christchurch, c'est la deuxième plus grande ville de Nouvelle-Zélande. Pour vous donner une idée, si on transposait le centre et sa banlieue, ils prendraient presque toute la superficie du lac Léman. C'est grand ! Mais c'est très aéré et la densité de population est bieeeen plus faible que dans nos villes.

La ville se situe dans les plaines du Canterbury : des champs et des champs et des champs, un paysage tout plat avec des lignes droites qui n'en finissent pas. 

Pas vraiment la Nouvelle-Zélande aux paysages grandioses et escarpés que l'on pensait découvrir.
Photo
Malgré les rues tirées au cordeau et sans grand intérêt, il est agréable de se promener dans la ville.
​​À part dans le centre, il n'y a quasiment pas d'immeubles, et les quartiers sont composés de petites maisons de bois aux allures nordiques, sans étage, entourées d'un jardinet la plupart du temps bien entretenu sans être trop propret.
Rue Jolie, à Akaroa, péninsule de Banks
Rue Jolie, à Akaroa, péninsule de Banks
Les trottoirs et les routes sont absolument impeccables (et pourtant... quelle galère pour trouver une poubelle !).
Tout est très vert, d'autant plus à l'ouest du centre ou se situent les jardins botaniques et leurs arbres monumentaux, qui commencent à prendre leurs teintes automnales (hé oui, nous sommes partis début avril, c'est l'automne là-bas).
Jardin botanique de Christchurch
Photo
Mais à mon sens, ce n'est pas ce qui caractérise la ville.
En effet, celle-ci a subi, en novembre 2010, un séisme d'une magnitude de 7, qui a provoqué des dégâts. Mais le second tremblement de terre, en février 2011, fut bien plus destructeur malgré sa magnitude plus faible, de 5,3.
Les infrastructures étaient déjà fragilisées suite aux secousses de novembre, et on fini par céder : aéroport, électricité, eau, et surtout les bâtiments du centre : un tiers d'entre eux ont été démolis.
Worcester boulevard, une des avenues centrales de Christchurch. Derrière le tramway touristique se dressent les restes de la façade de la cathédrale, centre névralgique de la ville.
Worcester boulevard, une des avenues centrales de Christchurch. Derrière le tramway touristique se dressent les restes de la façade de la cathédrale, centre névralgique de la ville.
La cathédrale ChristChurch (j'ai pu noter que les néo-zélandais ne faisaient pas preuve d'une grande imagination pour les noms !), en plein centre, a perdu sa flèche et toute une façade, et le bâtiment est devenu si fragile qu'une démolition est très sérieusement envisagée.  :(
La cathédrale ChristChurch
La cathédrale ChristChurch
La cathédrale ChristChurch
Ne vous imaginez pas que les abords de la cathédrale sont dévastés et abandonnés. Au contraire, la ville a misé sur l'emplacement central pour devenir le lieu de différentes installations artistiques "interactives".
On peut trouver sur la place un jeu d'échecs géant, des fauteuils recouverts de pelouses, des sculptures modernes... Un moyen pour que la population reprenne possession des lieux, tout en détournant l'attention des très nombreux chantiers de démolition ou de reconstruction, omniprésents.
Le jeu d'échecs géant de Cathedral Square
Le jeu d'échecs géant de Cathedral Square
Et ça marche ! Le dynamisme de la ville a su tirer parti des friches qui bordent les avenues commerçantes. À grand renforts de containers (mais ou en ont ils trouvé autant ??), des bars branchés ont fait leur apparition, les entreprises subsistent, et le contraste entre neuf, ancien et abandon n'est pas désagréable.
D'autant plus qu'ils y vont à fond : on voit que les projets architecturaux ont été étudiés afin d'incorporer des bâtiments modernes à des structures plus anciennes, en exploitant au mieux les éléments qui ont survécu à la catastrophe.
Je ne sais plus ou poser les yeux en flânant dans les rues. Six ans après le séisme, l'abandon est toujours là, et l'ampleur des dégâts donne encore des frissons.
Le Old Government Building, construit au début du XXe, a miraculeusement survécu. Un bar, ainsi qu'un hôtel, y ont trouvé place. L'immeuble en arrière plan n'a pas eu la même chance...
Le Old Government Building, construit au début du XXe, a miraculeusement survécu. Un bar, ainsi qu'un hôtel, y ont trouvé place. L'immeuble en arrière plan n'a pas eu la même chance...
La
La "façade" du 237 High street.
Une Mini Cooper décore une friche...
Une cathédrale temporaire a été mise en place un peu plus loin. Elle est surnommée la "Cardboard Cathedral", littéralement "La cathédrale en carton", et pour cause : les murs sont formés par huit containers (encore eux !), sur lesquels reposent bois, acier... et tubes en carton.
Tu aimes les triangles ? Tu aimes les couleurs primaires ? Tu aimes le carton (et pourquoi pas) ? Tu adoreras la Cardboard Cathedral !
Tu aimes les triangles ? Tu aimes les couleurs primaires ? Tu aimes le carton (et pourquoi pas) ? Tu adoreras la Cardboard Cathedral !
Photo
La seconde cathédrale ancienne de Christchurch est bien souvent oubliée. Et quel dommage, car elle est encore impressionnante ! Située au sud-est du centre ville, la "Cathedral of the Blessed Sacrament" n'a, elle aussi, pas tenu bon face aux secousses. On l'appelle communément la basilique de Christchurch, et malheureusement, on est loin de sa grandeur passée.
Carte postale de la Cathedral of the Blessed Sacrament, première moitié du XXe siècle
Cathedral of the Blessed Sacrament, avril 2017
Cathedral of the Blessed Sacrament, avril 2017
Je suppose que vous êtes au courant de mon amour pour les lieux abandonnés (ce n'est pas pour rien que je vous montre Christchurch sous cet angle !). Et j'en entends déjà me demander, "c'est bien joli tout ça, et ou sont les photos de l'intérieur des ruines ?". Hé bien, il n'y en a pas.
​
Pourtant, j'aurais pu rentrer (pas discrètement du tout) dans les deux cathédrales. Mais je ne connais pas vraiment la législation du pays en la matière, et j'avais autre chose à faire que de visiter un poste de police...

Une porte latérale de la Cathedral of the Blessed Sacrament, avril 2017
Cathedral of the Blessed Sacrament, Christchurch, avril 2017
Ce que je sais en revanche, c'est qu'à Christchurch, les forces de l'ordre ne plaisantent pas avec les lieux abandonnés. Ils effectuent constamment des rondes  pour vérifier que tous les bâtiments soient bien fermés. Si il y a une telle surveillance, c'est parce qu'il ne faut pas oublier que tous ces lieux n'ont pas été désertés pour rien, mais parce qu'ils menacent de se casser la figure sur le coin du nez des visiteurs indésirables, et qu'il y a déjà eu de nombreux accidents.

Et puis, je peux vous dire que la taille des blocs en suspension au dessus de la nef de la cathédrale du Saint-Sacrement ont bien refroidi mes ardeurs !
Pourtant, je me suis laissée dire que les sièges sont toujours là, qu'ils n'ont pas bougé, ainsi que les lustres suspendus aux plafonds décorés... et que sur les débris de la nef, qui reposent dorénavant à la place du chœur, des arbres ont poussé. Le spectacle doit être édifiant !
Maison abandonnée à Christchurch
Mais l'état de délabrement des maisons me rappelle à l'ordre.
Maison abandonnée à Akaroa, péninsule de Banks
Maison abandonnée à Akaroa, péninsule de Banks
​Voilà un aperçu de la ville sous un autre angle que juste ses attraits touristiques.
Car évidemment, il y en a !
Il ne faut pas s'imaginer Christchurch comme une ville en ruine. Elle est maintenant en très grande partie reconstruite, c'est beau, c'est jeune et c'est dynamique.

J'ai pu jouer à un jeu vidéo géant sur la façade d'un immeuble (avec le son, les voisins doivent être ravis), boire un coup avec une amie française dans un bar articulé autour d'un ancien bus (transformé en comptoir à bières !)...
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... Flâner dans des jardins aux arbres géants, et entre de magnifiques graffitis - de vraies œuvres d'art qui recouvrent les façades des immeubles... J'ai pris un des meilleurs petits déjeuners de ma vie (j'en salive encore), vécu un tremblement de terre au Canterbury museum, vu une maison aux murs recouvert de moules géantes (oui oui) et à la déco douteuse...
​Moi qui ne suis pas "ville", Christchurch m'a tapé dans l'oeil et reste l'une des plus chouettes agglomérations que j'ai eu l'occasion de visiter.
Elle vaut le coup d'œil, et j'y aurais volontiers passé plus de temps.

Mais promis, pour les prochains billets, je vous montrerai les côtés plus glamour de la Nouvelle-Zélande ! :D

La suite bientôt...
Belle fin de journée à tous,
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